La série noire continue pour VMware depuis son rachat par Broadcom. Pointé du doigt pour pratiques abusives, le géant américain appliquerait des augmentations tarifaires allant de 800 à 1 500 %. Face à ça, Ozérim vous propose une alternative fiable et souveraine : Proxmox.
Visé par un second rapport de l’observatoire européen de la concurrence dans le cloud (ECCO), Broadcom semble se soucier comme d’une guigne de ses pratiques litigieuses en matière de tarification…
Rappelons les faits : en fin d’année 2023, VMware (spécialiste de la virtualisation) se faisait racheter par Broadcom, le géant américain des semi-conducteurs, pour la « modique » somme de 69 milliards de dollars.
Un investissement que Broadcom compte alors rentabiliser en trois ans seulement.
Sa solution pour y arriver ? Augmenter le prix des licences de ses clients, tout en arrêtant les licences perpétuelles. Le fabricant adopte aussi un système de bundles, avec obligation de souscrire à des packages complets, qu’ils soient utilisés ou non.
Une politique agressive qui passe mal auprès des organismes européens, qui tirent la sonnette d’alarme pour pratiques litigieuses.
Certains membres du CISPE (Cloud Infrastructure Service Providers in Europe) font état de tarifs VMware en augmentation de 800 % à 1 500 %.
Broadcom a néanmoins consenti à des négociations de 30 % à 50 % sur ces augmentations, mais en contrepartie d’un engagement de trois ans minimum…
Très dépendants de l’hyperviseur américain depuis des années, de nombreux organismes ont décidé de continuer avec les produits VMware, malgré une pression croissante du géant US.
> Consulter le rapport de l’ECCO (en anglais)
Ozérim, qui condamne depuis des années de tels agissements, propose à ses clients des solutions open source et souveraines comme Proxmox.
L’hyperviseur autrichien est l’une des meilleures alternatives à VMware, et pas uniquement depuis la hausse de prix réalisée par Broadcom.
Ses avantages sont nombreux :
Toutes ces qualités et plus encore font qu’Ozérim recommande fortement Proxmox VE à ses clients.
Nous avons d’ailleurs récemment migré toute notre infrastructure IT sur la solution de virtualisation européenne.
> Ozérim abandonne VMware pour passer son infrastructure informatique sur Proxmox VE
L’équipe Ozérim estime que ses clients n’ont pas à payer le prix de l’acquisition de VMware par Broadcom. Les fournisseurs américains profitent trop souvent de la dépendance de leurs clients pour pratiquer des hausses de prix de l’informatique qui nous semblent abusives…
Si vous souhaitez quitter VMware et Broadcom pour refondre votre infrastructure IT, nous pouvons vous aider. Contactez sans tarder nos équipes pour demander une étude de votre projet !
Sources : IT-Connect, CIO-Online
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